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Informations

VACCINS ANTIGRIPPE ET RESTRICTIONS DE DÉLIVRANCE

03 novembre 2020

La pandémie de COVID-19 a fait augmenter le nombre de demandes pour le vaccin antigrippe. Malheureusement, la quantité de vaccins disponible n'est pas suffisante pour répondre à toute la demande.

Des nouvelles directives pratiques concernant la délivrance des vaccins antigrippe nous sont donc parvenues aujourd'hui. En effet, les autorités ont décidé de réserver les vaccins antigrippaux en priorité aux patients à risque et aux personnes avec qui ils sont en contact direct.

Les patients prioritaires actuellement sont:

- Les femmes enceintes;

- Les patients atteints de maladies chroniques (pulmonaires, cardiaques - sauf hypertension, rénales, hépatiques, neuromusculaires, immunitaires, diabète) et/ou obésité (BMI>35);

- Les personnes âgées de plus de 65 ans;

- Les personnes séjournant en institution;

- Les enfants de 6 mois à 18 ans compris sous thérapie à l’aspirine au long cours.

Le personnel de santé et les personnes vivant sous le même toit que les patients mentionnés ci-dessus auront également droit au vaccin dans cette première phase.

Cependant, et contrairement aux informations reçues auparavant, les personnes en bonne santé ayant entre 50 et 65 ans ne sont plus prioritaires et n'ont donc pas accès au vaccin antigrippe dans la première phase de vaccination. Une réévaluation sera effectuée au mois de décembre afin de savoir si des vaccins sont encore disponibles pour cette population.

Nous sommes tenus de respecter les directives reçues, et nous sommes désolés pour le désagrément occasionné, totalement indépendant de notre volonté.

Note: Les mesures mises en place par le gouvernement afin de freiner la COVID-19 auront également un impact sur la prévention de la grippe saisonnière. Il est donc d'autant plus important de garder les gestes barrières, et de stimuler votre immunité (vitamine D, vitamine C, zinc ...) afin de prévenir l'apparition de cette maladie virale.

Votre pharmacien et son équipe officinale, toujours au service de votre santé.

CORONALERT

30 septembre 2020

Coronalert, on a téléchargé l’appli ! Et vous ?

Coronalert peut vous aider ainsi que tous vos proche et elle est bien plus respectueuse de la vie privée que le tracing manuel.

N’hésitez donc pas à rejoindre la communauté pour nous protéger les uns les autres !

Plus d’info ici : https://coronalert.be/fr/

13 ASTUCES UTILES…

01 septembre 2020

… POUR ÊTRE ZEN AU BUREAU

Voici peu, vos seules sources de tension étaient : Mojito ou Pina Colada ? Bronzette pile ou face ? Et là, vous voilà de retour au boulot, à plonger davantage dans les dossiers et entretiens à préparer… C’est le bon moment d’acquérir des habitudes sereines avant que le stress ne vous débronze en deux temps trois mouvements.

1. Prévoyez l’imprévu

Des plannings bien élaborés, c’est excellent pour s’organiser, y voir clair et parvenir à tout boucler à l’heure. Inversement, des to-do list longues, c’est minant. Afin d’avancer, alternez des tâches aux résultats immédiatement visibles (par exemple, vider sa boîte mail, écrire un courrier…) et d’autres exigeant un travail de longue haleine (un gros dossier à mettre en route). Etablissez aussi un rétroplanning, en notant ce que vous devez absolument avoir terminé endéans tel délai. Sans oublier d’y glisser des temps vides si une réunion déborde, si un embouteillage vous prend en otage, etc.

2. Fermez-la

Ne gardez pas votre boîte mail ouverte en permanence. Ouvrez-la uniquement toutes les 2 ou 3 heures et consacrez-vous entièrement à cette tâche (avec réponse et classement immédiats).

3. Repérez les tics « bouffeurs de temps »

Tels vérifier constamment son GSM, passer « juste quelques minutes » sur Facebook, descendre voir une collègue, passer à la machine à crasses… Ni bon pour les hanches, ni pour la concentration !

4. Adoptez des boules

Les espaces paysagers se sont multipliés dans les sociétés : parfait pour la communication mais pas pour la concentration ! Le bruit de fond permanent provoque une perte d’efficacité ainsi qu’un épuisement nerveux et physique. Le prix du silence ? Environ 5 € pour des boules Quies qui filtrent les sons, sans vous couper du monde.

5. Osez dire non

Le plus compliqué, c’est de refuser un surplus de travail sans se sentir coupable de fainéantise. Ne répondez pas « oui » tout de suite, ce qui peut provoquer une frustration et donc de l’agressivité. Réfléchir avant d’accepter, c’est souvent apprendre à dire « non » ! Entraînez-vous à prononcer poliment et fermement certaines phrases-clefs, telles : « Cela ne fait pas partie de mes compétences ou de mes attributions. J’en suis désolée. »

6. Prenez du recul

Votre boss est particulièrement hargneux aujourd’hui ? Rien ne dit que vous en êtes la cause. Il s’est peut-être levé du mauvais pied… ou vous reproche effectivement des éléments concrets : avant de vous emballer dans des interprétations erronées et autodestructrices, demandez un entretien afin d’éclaircir les faits.

7. Gardez la banane

Quand vous êtes confronté à des stress répétés, les réserves de magnésium s’épuisent. Ce qui aggrave l’anxiété et la nervosité, entraîne des douleurs musculaires, etc. Augmentez son absorption via le pain complet, les céréales, le chocolat noir, les bananes, les fruits secs (amandes, noisettes...), les légumes secs... Ou un supplément bien dosé, disponible en pharmacie.

8. Evacuez la pression

C’est compliqué de se placer incognito dans la position de la chandelle pour souffler. En revanche, on peut prévoir le planning, à pratiquer sans quitter son PC, pour retrouver illico la sérénité du Dalaï-Lama : placez la paume des mains sur chaque œil et fermez les doigts afin de vous retrouver dans une obscurité totale. Effectuez ce geste durant quelques minutes, aussi souvent que nécessaire.

9. Profitez mieux de vos pauses

Quelques minutes pour souffler ? Plutôt que de rester scotché à la machine à café, bougez-vous ! Marchez quelques pas, descendez un escalier, aérez-vous près d’une fenêtre voire prévoyez un tour à l’extérieur. L’un des carburants principaux du cerveau, c’est l’oxygène !

10. Misez sur vos rythmes biologiques

C’est physiologique : on est au top intellectuel et physique 2 h 30 après le repas. Donc généralement vers 10 heures et 15 heures. Programmez, pendant ces tranches horaires, des travaux d’étude, de mémorisation, de réflexion… Entre 13 et 15 heures, que l’on mange un lunch complet ou que l’on grignote une pomme, l’après-midi commence au ralenti : on pique du nez sur son ordinateur. Si la sieste n’est pas inscrite dans le règlement du bureau, prévoyez des activités ne nécessitant pas de gros efforts intellectuels : rangement, classement des mails, etc.

11. Bâillez

Ce réflexe respiratoire, facile à réaliser (commencez le geste, il se termine automatiquement par un « vrai » bâillement), fournit une détente immédiate et peu onéreuse tout en dopant les neurones. Le seul risque ? Le bâillement étant terriblement contagieux, attendez-vous à une épidémie rapide chez tous vos collègues.

12. Respirez…

avec tous vos poumons

En mode tendu, on halète superficiellement. Ce qui reste peu profitable pour l’organisme. La bonne respiration : confortablement assis, inspirez profondément en gonflant l’abdomen. Puis relâchez doucement, régulièrement et complètement, comme si vous souffliez dans une paille. Une respiration pleine et consciente apaise les crispations des muscles et des neurones.

13. Enfilez-vous des granules

Michèle Boiron, pharmacienne homéopathe explique : « L’homéopathie peut être conseillée en première intention, face à des troubles anxieux, ou pour faciliter le sevrage de médicaments. Si le stress vous rend amorphe : gelsenium.
Pour les excités : argentum nitricum et pour les hypersensibles qui passent du rire aux larmes : ignatia. »

MALADIES RHUMATISMALES …

01 septembre 2020

... PAS QUE CHEZ LES SENIORS !

Les maladies rhumatismales … Tout le monde est concerné

Les jeunes parce que certaines formes de ces affections inflammatoires surgissent dès la vingtaine. Et les moins jeunes, car on peut agir à tout âge pour freiner leurs effets.
Trois millions d’Européens, dont 2 % de Belges, sont atteints de maladies rhumatismales. Soit des affections chroniques inflammatoires entraînant, lorsqu’elles ne sont pas traitées, des déformations croissantes des articulations, des douleurs fréquentes et une invalidité importante (si les doigts ou les genoux sont touchés).
Chacun des cartilages peut être touché : cervicales, épaules, hanches, poignets, genoux, pieds… Progressive, l’évolution s’étale sur des dizaines d’années. Hélas ! les premières manifestations ne sont pas toujours significatives, faisant davantage penser à des attaques virales. Ce qui retarde la consultation chez le rhumatologue et donc le diagnostic. Or, plus ce dernier est précoce, plus on observe de rémission, plus on parvient à prévenir les complications…

Sauvez les cartilages !

Les symptômes apparaissent de manière symétrique, au niveau des poignets, des mains et des pieds : ce sont des douleurs, des gonflements et des raideurs. Ils sont essentiellement présents le matin et provoquent parfois des réveils nocturnes. Si les médicaments sont prescrits dès les premières crises et avant l’apparition des lésions, s’ils sont administrés sur une longue période, ils atténuent fortement la douleur et préviennent la déformation des articulations. En revanche, quand l’inflammation n’est pas soignée, le cartilage de l’articulation et de l’os se détruit progressivement. Au fil du temps, la capsule articulaire se distend et les tendons se déplacent, provoquant d’invalidantes déformations.

Des antalgiques à la chirurgie

Bien que la prise d’antidouleurs et d’anti-inflammatoires soit tentante, elle doit néanmoins se réaliser sous suivi médical, vu l’intensité de leurs effets secondaires. Restent encore d’autres formules, réservées aux formes sévères : les anti-TNF, fabriqués par biotechnologie, traitent les symptômes et préviennent la destruction des articulations. Ultime recours : la chirurgie de l’arthrose permet le remplacement des articulations altérées par des prothèses. Elle fournit d’excellents résultats… lesquels restent limités dans le temps : entre 10 à 15 ans. Et une nouvelle intervention, au même endroit, demeure toujours plus compliquée à réussir techniquement. Et demain ? Tous les espoirs sont permis du côté des greffes de cellules formant et régénérant le cartilage. En attendant, la maladie ne se guérit pas encore.

Tout le monde debout !

Au fil du temps et sans thérapie, des gestes élémentaires pour Madame et Monsieur Tout-le-Monde deviennent plus compliqués à accomplir : s’accroupir, soulever une charge, peler un fruit ou un légume, se tenir dans les transports en commun, ouvrir une brique de lait… Non seulement ces manifestations sont invisibles (on ne semble pas malade), mais elles sont également cycliques. Un jour, on parvient à réaliser certains actes ; le lendemain, ces mêmes mouvements demeurent impossibles à répéter. Ce qui entraine de l’incompréhension de la part des tiers. L’activité physique régulière (à programmer en dehors des poussées inflammatoires) favorise la mobilisation du squelette. Inutile de viser les Jeux olympiques : une marche quotidienne, de la natation (en piscine chauffée), du vélo (qui « porte » le poids du corps et donc soulage les articulations), du yoga (qui favorise la souplesse) suffisent amplement. La kinésithérapie (et, mieux, celle réalisée en milieu aquatique) réduit les douleurs et privilégie la mobilité douce des mouvements. Bénéfice non négligeable : l’effort libère les endorphines et la sérotonine, des hormones favorisant l’euphorie et réduisant la souffrance.

Petits aménagements pour grands effets

Lorsqu’on souffre d’articulations douloureuses et moins mobiles, le quotidien exige une bonne dose de créativité. Et ce, notamment pour compenser les gestes devenus impossibles et favoriser l’autonomie. Les ergothérapeutes et les associations de patients fournissent des conseils judicieux. Tels que l’usage d’un casse-noix pour ouvrir une bouteille ou le choix d’un allume-gaz plutôt que des allumettes. Ils conseillent éventuellement le port d’orthèses, une contention qui, en immobilisant les articulations, soulage et prévient les déformations. Enfin, il existe de nombreuses aides techniques, disponibles dans les commerces spécialisés, etc.

Des astuces à partager

Parfois, même les gestes simples, comme les mouvements de pince entre l’index et le pouce, la prise en main ou le déplacement d’objets lourds, se révèlent compliqués. Voici quelques astuces malines et pratiques dénichées auprès des associations de patients !

  1. Tous les ciseaux font mal aux mains souffrant de rhumatismes. Utilisez, si possible, du matériel électrique ou des couteaux à roulette (comme pour découper les pizzas).
  2. Remplacez les boutons de porte à tourner par des poignées à abaisser, de grande taille.
  3. Entourez les manches des couverts d’un tube en mousse antidérapant (utilisé pour l’isolation du chauffage) afin de les rendre plus faciles à saisir.
  4. Utilisez un panier de cuisson pour éviter de transporter des casseroles trop lourdes. Vous ne soulevez alors que le panier rempli de légumes ou de poisson, et non pas toute la casserole (encore plus lourde si remplie d’eau).
  5. Pensez à une multiprise avec interrupteur qui coupe l’électricité sans devoir retirer la prise.
  6. Optez pour une brosse à dents électrique qui possède un manche plus gros.
  7. Choisissez le dentifrice en distributeur ou utilisez un presse-tube fixé au mur.
  8. Comme les pots à médicaments sont souvent compliqués à ouvrir, demandez au pharmacien de les transvaser dans des boîtes en carton.

Sources : Apprendre les bons gestes, apprivoiser les aides techniques, les arthrites inflammatoires, Collection les Guides pratiques visuels, vivre au quotidien, éditions Vivio – informations CLAIR* : www.clair.be.
*CLAIR, soit la Confédération de Lutte contre les Affections Inflammatoires Rhumatismales, regroupe de nombreuses associations de patients en Wallonie. Côté néerlandophone, Reumanet réunit les associations de victimes de rhumatismes. Leur objectif est de fournir des informations, de créer une chaîne de solidarité entre les personnes concernées, de sensibiliser le monde médical, de faire mieux connaître ces pathologies encore mystérieuses au grand public mais aussi aux instances politiques. Et ce, afin d’améliorer la reconnaissance et la prise en charge de ces troubles souvent invalidants…

COVID-19 INFO

12 mai 2020

Comment utiliser un masque chirurgical ?

Le port du masque en tissu protège avant tout votre environnement particulièrement si vous êtes infecté. Portez le masque uniquement lorsque c’est obligatoire (par exemple dans les transports en commun) ou nécessaire (par exemple si le maintien d’une distance physique suffisante ne peut être garanti, en cas de contact avec des personnes fragiles ou, si vous êtes malade, en présence d’autres personnes).

X : N’utilisez PAS le masque chirurgical comme moyen pour vous protéger si
vous devez vous approchez ou soignez une personne infectée.

Comment mettre et enlever le masque ?

  • Lavez-vous soigneusement les mains à l’eau et au savon avant de toucher le masque. Si vous ne pouvez pas vous laver les mains, désinfectez-les.
  • Vérifiez si le masque est en bon état. S’il présente des taches ou des trous, jetez-le immédiatement dans une poubelle fermée.
  • Tenez-le masque avec la partie métallique ou rigide vers le haut et la face intérieure (blanche) vers vous. Placez le masque contre le nez, la bouche et le menton et pincez la partie rigide sur le nez pour l’ajuster.
  • Étirez le masque de manière qu'il couvre et s’ajuste correctement à votre nez et votre menton (pas d'espace entre le masque et le visage).
  • Une fois que vous avez mis le masque, évitez de le toucher.
  • Si le masque glisse ou n'est pas bien attaché, touchez uniquement les côtés ou les attaches pour l’ajuster ou l’attacher à nouveau. Lavez-vous ou désinfectez-vous les mains ensuite.
  • Retirez le masque en le prenant par les élastiques ou les cordons, sans toucher l’extérieur du masque. Jetez les masques usagés dans une poubelle fermée.
  • Lavez-vous ensuite soigneusement les mains.
  • Portez un même masque au maximum pendant 8 heures. Remplacez-le plus rapidement s’il est humide ou sale.

Si vous souhaitez momentanément retirer le masque :

O : Laissez-le pendre à une oreille ou conservez-le dans un endroit propre, extérieur du masque vers le haut, ou dans un sachet en papier (une enveloppe par exemple), réservé à votre usage.

X :  Ne le mettez pas dans votre poche ou votre sac à main.

! : Évitez de retirer et de remettre le masque trop souvent. Ne portez jamais le masque sous votre nez ou sous votre menton (! Risque de contamination !)

COVID-19 INFO

12 mai 2020

Comment utiliser un masque en tissu ?

Le port du masque en tissu protège avant tout votre environnement. Portez le masque uniquement lorsque c’est obligatoire (par exemple dans les transports en commun) ou nécessaire (par exemple si le maintien d’une distance physique suffisante ne peut être garanti, en cas de contact avec des personnes fragiles ou, si vous êtes malade, en présence d’autres personnes).

X N’utilisez PAS le masque en tissu comme moyen pour vous protéger si vous devez vous approchez ou soignez une personne infectée

Comment mettre et enlever le masque ?

  • Lavez-vous soigneusement les mains à l’eau et au savon avant de toucher le masque. Si vous ne pouvez pas vous laver les mains, désinfectez-les.
  • Prenez le masque par les élastiques ou les cordons.
  • Placez le masque sur le visage en veillant à ce qu'il couvre et s’ajuste correctement à votre nez et votre menton (pas d'espace entre le masque et le visage).
  • Une fois que vous avez mis le masque, évitez de le toucher.
  • Si le masque glisse ou n'est pas bien attaché, touchez uniquement les côtés ou les attaches pour l’ajuster ou l’attacher à nouveau. Lavez-vous ou désinfectez-vous les mains ensuite.
  • Retirez le masque en le prenant par les élastiques ou les cordons, sans toucher l’extérieur du masque. Lavez-vous ensuite soigneusement les mains.
  • Portez un même masque au maximum pendant 8 heures. Remplacez-le plus rapidement s’il est humide ou sale.

Si vous souhaitez momentanément retirer le masque, par exemple pour boire :

O : Conservez-le dans un endroit propre, extérieur du masque vers le haut, ou dans un sachet en papier (une enveloppe par exemple), réservé à votre usage.

X : Ne le mettez pas dans votre poche ou votre sac à main.

! : Lorsque vous remettez le masque, veillez à ne pas confondre l’intérieur et l’extérieur.

  • Évitez de retirer et de remettre le masque trop souvent. Ne portez jamais le masque sous votre nez ou sous votre menton (! risque de contamination !).

Comment laver le masque ?

  • Changez de masque toutes les 8 heures ou toutes les 4 heures en cas d’usage intensif (par exemple pour un professeur qui donne cours) ou plus rapidement s’il est humide ou sale.
  • Le masque doit être lavé après chaque usage.
  • Un filtre supplémentaire peut être placé entre les couches de tissu de certains masques. Jetez les filtres non lavables à la poubelle après usage. Si vous utilisez un filtre lavable, voir ci-dessous les recommandations de lavage.
  • Lavez le masque à la machine à 60°C avec du savon, avec le reste du linge. Vous pouvez également le faire bouillir avec du savon dans une casserole réservée à cet usage. Si vous lavez le masque à plus basse température, par exemple à la main, vous devez alors le repasser à une température élevée.
  • Repasser le masque ou le passer au séchoir n’est pas suffisant ! Cela ne remplace pas le lavage.
  • Si vous avez touché un masque sale, par exemple pour le mettre dans la machine à laver, lavez-vous soigneusement les mains ensuite.
  • Le masque doit être tout à fait sec avant d’être réutilisé. Il est donc recommandé d’avoir au moins deux masques.

Si vous utilisez un filtre lavable :

  • Lavez de préférence le filtre en le laissant dans le masque pour éviter d’être en contact avec d’éventuels virus présents dans le filtre.
  • Lavez le filtre après chaque jour d’utilisation.
  • Laissez de préférence le filtre sécher à l’air libre ou faites-le sécher au séchoir.
  • Attention : les filtres sensibles à la chaleur ne doivent pas être repassés ou bouillis ! Ils pourraient fondre.

Comment conserver le masque ?

  • Ne laissez pas traîner vos masques n’importe où. Choisissez un endroit propre que vous utiliserez pour conserver les masques usagés, de préférence dans un sac en tissu fermé que vous pourrez laver en même temps que les masques.
  • Lavez-vous toujours les mains avant de toucher un masque propre et ne touchez pas l’intérieur du masque.

X : Ne mettez pas votre masque dans le frigo ou le congélateur. Le froid ne tue pas le virus et vous risquez de contaminer vos aliments.

COVID-19 INFO

14 avril 2020

PHARMASTOCK

Le coronavirus fait partie de notre quotidien depuis plusieurs semaines. Ensemble, nous cherchons des solutions pour le combattre et pour nous protéger. 

Les pharmaciens sont en première ligne afin d’assurer la continuité des soins. 

Afin d’éviter des déplacements inutiles, vérifiez les disponibilités de votre officine sur pharmastock.info.

Les quantités délivrées sont légalement limitées pour en proposer au plus grand nombre. Pensons aux personnes qui en ont vraiment besoin. Ne vous rendez pas en pharmacie pour faire des stocks. 

#Solidarite ##Masque #PharmaStock

COVID-19 INFO

11 avril 2020

Quels sont les symptômes du COVID-19 ?

Principaux symptômes du COVI-19 = ++      
Symptômes présents dans certains cas = +

Remarque : Certaines personnes atteintes par le COVID-19 ne développent pas de symptômes)

Si vous présentez des symptômes de la maladie, téléphonez à votre médecin et restez chez vous.
Ne vous rendez pas à la pharmacie mais envoyez un proche.
En cas d’impossibilité, contactez la pharmacie au n° 02 512 63 97, nous vous ferons déposer les médicaments et nous sonnerons ou enverrons un SMS lors du dépôt devant votre porte

Votre médecin peut vous envoyer les prescriptions électroniques par e-mail.

Votre Pharmacien Dynaphar 

COVID-19 INFO

03 avril 2020

Ne faites pas de stocks de médicaments ! 

Etat grippal et fièvre ?  

Pour faire baisser la fièvre et combattre la douleur, préférez le paracétamol. 
Pas de paracétamol disponible ? Dans la plupart des cas, les autres antidouleurs courants peuvent constituer une alternative sûre, surtout pour les personnes qui n’ont pas de problème de santé chronique.

Vous hésitez quant à l’antidouleur le plus indiqué pour vous ?

Prenez contact par téléphone avec votre pharmacien ou votre médecin. Ils pourront vous conseiller en fonction de votre état de santé.

Ne faites pas de stock

L’accès aux médicaments doit être garanti pour tous.
Merci de limiter vos achats d’antidouleurs à une seule boîte par personne. 

Conseil important

N’interrompez jamais votre traitement sans avis médical !

SECRETS MINCEUR POUR S'ALLEGER EN DOUCEUR

29 février 2020

Finis les poissons pochés et poireaux vapeur ! Pour perdre du poids, on mise sur des comportements différents destinés à nous déstresser et retrouver le plaisir des sens.

 

Manger en pleine conscience

 

Une nouvelle approche ? Plutôt une manière naturelle de se nourrir, qu'à force de régimes multiples et d'a priori saboteurs, on a fini par oublier. Soit, manger uniquement lorsqu'on a faim, mâcher lentement en analysant ses impressions et reposer ses couverts dès la satiété. La pleine conscience, c'est une thérapie validée par les scientifiques, qui nous apprend à observer avec tous nos sens, nos besoins, nos émotions, nos pensées et ce, afin de les satisfaire le plus justement possible. Rassurez-vous, la pratique est plus simple que la théorie ! Ici, on mange de tout, plus lentement, en moindre quantité mais avec beaucoup plus de plaisir. En pratique ? Avant de porter la fourchette en bouche, observez bien vos aliments : leur couleur, leur forme, leur texture, leur disposition… ce qui participe aussi à l'acquisition de la satiété. Prenez exemple sur les Japonais qui réalisent de véritables œuvres d'art dans leur assiette, laquelle contient en fait très peu de nourriture. Mangez "en pleine conscience", sans parler, lire ou regarder la télévision, en tentant de décrypter chaque saveur et texture…
 

• Info : Groupe de réflexion sur l'obésité et le surpoids, www.gros.org (uniquement en français)

 

Des granules pour soutenir les efforts
 

L'homéopathie ne va pas suffire pour perdre du poids de manière efficace et durable mais elle peut booster la motivation, réduire le stress qui engendre une compulsion pour les aliments sucrés, estomper les envies de grignotages et favoriser l'élimination… Cette médecine douce sans effets secondaires est d'autant plus efficace lorsqu'elle est personnalisée : le praticien étudie alors la cause des soucis, la personnalité de chacun, les habitudes alimentaires. En effet, il n’existe aucune prescription simple, facile, universelle… car trop de facteurs influencent le surpoids. Consultez un médecin homéopathe ou demandez conseil à votre pharmacien.
 

• Info: Unio Homeoepathica Belgica, www.homeopathy.be.

 

L’hypnose, on déprogramme les mauvaises habitudes
 

Plonger dans un "état modifié de conscience" est simple : on le fait plusieurs fois par jour quand on est passionné par un bouquin ou dans ses rêves… au point d’oublier tout ce qui nous entoure. En séance, l’hypnothérapeute provoque cette situation en émettant des suggestions d'une voix ferme et douce. Quant à l’autohypnose, elle permet de se placer soi-même dans cet état (après un mini-apprentissage). Pour améliorer les soucis de poids, cette discipline permet de reconnaître une vraie faim et de se relaxer sans plonger dans le frigo... Elle apprend aussi à transformer les suggestions négatives en énergie positive. En effet, les pensées et les mots ont un énorme pouvoir émotionnel : aborder le régime comme une lutte contre les frites et le chocolat semble déjà insurmontable. Alors que gagner en légèreté reste nettement plus enviable !

 

L’acupuncture, la force des aiguilles
 

Selon les Orientaux, les dysfonctions surgissent lorsque les énergies internes (les QI) ne circulent plus correctement dans notre corps. Le but de l'acupuncture est donc de rétablir un cheminement normal de ces énergies à travers les méridiens, lesquels sont des lignes virtuelles correspondant à des organes (foie, rate, estomac, reins, cœur…) ou à des fonctions (digestives, respiratoires…). Le médecin place de fines aiguilles de 3 à 4 millimètres sous la peau, afin de corriger les déséquilibres énergétiques des différents éléments impliqués dans la prise de poids et dans le stress. Cette thérapie régule l'appétit, dope l'élimination et réveille les fonctions digestives…
 

• Info : Association Belge des Médecins Acupuncteurs (ABMA), www.acupuncture.be et www.acupunctuur.be.

 

Les plantes sous toutes les formes
 

La phytothérapie est utilisée depuis longtemps sous forme d'infusions, de gélules, d'extraits… Certaines plantes sont adaptées à la minceur par leurs actions drainantes, antistockage, anti-ballonnement, rassasiantes… La gemmothérapie utilise les bourgeons, les jeunes pousses et l'écorce des racines des arbres. Ces éléments, notamment lorsqu'ils proviennent du bouleau et du tilleul, ont des qualités dépuratives et diurétiques reconnues… depuis l'invention des régimes !

 

Avec ou sans régime ?
 

La grande question reste : "Ces approches douces demeurent suffisantes pour l’envol des kilos ?" Certains praticiens recommandent également de limiter les apports énergétiques et fournissent des plans nutritionnels. Pour d’autres, écouter son corps permet d’office de réduire les portions et d'éliminer le besoin de se gaver de sucreries.